Ajouts du 6 juin 2020 puis de dates ultérieures (en rouge dans le texte) : nous savions déjà que nos médecines françaises n'allaient pas bien. L'apparition du covid 19 a souligné leurs incroyables travers et le degré zéro de leur pilotage politique. D'un Etat français qui a légalisé la mise à mort des tout petits en gestation, que pouvait-on d'ailleurs attendre de valable en matière médicale ? Rien qui vaille, hélas. Chaque jour qui passe confirme davantage l'état pitoyable de la médecine en France et l'échec lamentable de la gestion de l'épisode du covid 19. Prenons les choses à rebours et à rebrousse poil :
1. Stupéfiante interdiction de l'emploi de l'hydroxychloroquine par un ministre visiblement dépassé par les événements, fort mal secondé et conseillé (ou trop impulsif ?) juste après la publication de l'étude "foireuse" du Lancet.
2. Déconfinement grotesque avec port du masque et distance obligatoires qui ne servent à rien puisque ces deux mesures n'ont jamais empêché la moindre propagation d'un virus capable de s'infiltrer où bon lui semble étant donné sa petitesse.
3. Assignation à résidence imposée à un pays déjà à l'agonie après plusieurs décennies de politiques sociales, économiques ... aberrantes ... au lieu de mettre en place les moyens de dépistage et de quarantaine utiles lors d'une épidémie. Décision imbécile qui a engendré : surmortalité, aggravation des états critiques, dépassement des capacités hospitalières, désespoirs des personnes coupées de leur famille ... sans compter les innombrables faillites à venir.
4. Durant l'assignation à résidence et même avant :
- aucun conseil public d'hygiène immunitaire comme s'il n'y avait rien à faire pour augmenter la résistance de tout un chacun à la présence d'un pathogène ;
- tentative d'infantilisation du corps médical par l'émission de directives absurdes et totalitaires ne laissant pas le champ libre aux thérapeutes pour mettre en oeuvre le protocole de leur choix ;
- focalisation insensée sur les mérites ou les défauts du protocole Raoult comme si une institution richement dotée, hautement qualifiée, très expérimentée et gouvernée de main de maître n'était pas en mesure de mettre en place un suivi et des soins de qualité ;
- très grave confusion entre "étude observationnelle" et "étude clinique" et perte du sens moral comme du plus élémentaire bon sens : quand des malades se présentent, ce n'est pas le moment de les trier pour faire des essais. Faut-il rappeler à ce propos aux abrutis qui fanfaronnent sur les scènes médiatiques les plus corrompues que l'OMS interdit le recours aux études cliniques avec placebo dès lors que plusieurs études observationnelles ont prouvé l'efficacité d'un traitement ... en dépit des affirmations de quelques ignares en la matière ?
- crasse incapacité à s'inspirer des réussites d'autres pays mettant en oeuvre d'autres protocoles redoutablement efficaces : ozonothérapie et injection de vitamines C à très hautes doses ou utilisations de remède de la pharmacopée traditionnelle (artemisia annua notamment) ;
- déroutante incapacité à faire taire ou à contredire les messages complètement erronés ou mensongers d'émissaires farfelus pourtant désavoués lors de crises précédentes ;
- indigence du déploiement de tests fiables, faute de reconnaissance et de mise en oeuvre des progrès en biologie moléculaire, l'un des domaines clefs maîtrisé par l'IHU de Marseille qui apparaît de plus en plus comme le fer de lance d'une médecine de pointe, non seulement en avance sur le plan technique mais de surcroît attentive aux besoins élémentaires et vitaux des patients. Pôle d'excellence vilipendé par des imbéciles et jalousé par des incapables qui perdent un temps fou en palabres inutiles pendant que l'IHU se démène pour faire face au covid dans toutes ses dimensions, en témoignent ses travaux actuels sur les séquelles d'une maladie qui se révèle des plus sournoises ;
- asservissement d'une grande partie du monde politique et de la spère médiatique la plus en vue aux intérêts de firmes privées qui ne songent qu'à s'enrichir de manière éhontée en toutes circonstances en s'appuyant sur un pouvoir de nuisance et de propagande hors du commun.
Les semaines à venir dévoileront toute l'étendue des méfaits et des troubles générés par la gestion calamiteuse d'un pouvoir politique aux abois et d'un corps médical sinistré.
Réorganisation des médecines françaises, vaste sujet !
Pourquoi, pour quoi, pour qui, où, comment ... ?
1. Dresser un bilan, premier acte
Bilan humain, sanitaire, financier, économique, éthique, ... , par tranche d'âge, par territoire, par type de médecine, ...
Travail préalable et, mieux encore, à programmer de telle sorte qu'il soit possible, au fil de l'eau, de préparer puis d'apporter les correctifs souhaitables.
S'appuyer non seulement sur ce qui existe déjà en matière de suivi (par exemple les cohortes) et de contrôle mais aussi inventer des moyens nouveaux facilitant les opérations de bilan.
Tâche rendue difficile par l'instauration de l'IVG qui a bouleversé les fondements d'une certaine médecine française et de celles d'autres pays en introduisant non pas la clarté d'une reconnaissance d'actes autrefois si honteux que l'hypocrisie pouvait régner en maîtresse de bienséance mais une obscurité supplémentaire puisque la mauvaise conscience individuelle ou familiale a finalement été remplacée par une "bonne" conscience collective de tout le corps social : problème soi disant réglé, passez bonnes gens, il n'y a plus rien à voir, plus rien à dire et parler de l'avortement serait même devenu coupable : comment osez-vous ? ! N'avez-vous pas honte de ranimer la flamme ? Ne savez-vous pas que l'humanité a franchi un cap décisif en instaurant l'IVG et qu'elle s'apprête à gravir d'autres sommets ?
Et voilà bien le drame d'une nation et de tant d'autres : penser avoir brillamment résolu un problème très ancien et ne pas s'apercevoir que la solution mise en place est en réalité devenue elle-même un problème, plus grave encore que celui qu'elle prétendait résoudre.
Une certaine médecine française a fini par se retrouver confrontée à des situations d'apparence plus simple mais extrêmement répétitives sans disposer des moyens vraiment adéquats pour faire face à une demande croissante d'exécutions contraires à l'éthique médicale la plus élémentaire : d'abord, ne pas nuire, d'un point de vue physique et psychique.
Ici, nous nous intéressons aux conséquences touchant directement les médecines françaises même s'il apparaît au fil de l'analyse qu'un drame beaucoup plus large se joue en ce moment bien au-delà du corps médical. Tous les corps intermédiaires de la nation sont aujourd'hui touchés de plein fouet par l'instauration de l'IVG. Beaucoup de nos compatriotes en France, beaucoup d'Européens sont encore dans le déni à ce sujet. Pourtant, nier plus longtemps risque de nous conduire à une faillite dont nous aurons beaucoup de mal à nous relever.
Tâche rendue difficile par l'instauration de l'IVG qui a bouleversé les fondements d'une certaine médecine française et de celles d'autres pays en introduisant non pas la clarté d'une reconnaissance d'actes autrefois si honteux que l'hypocrisie pouvait régner en maîtresse de bienséance mais une obscurité supplémentaire puisque la mauvaise conscience individuelle ou familiale a finalement été remplacée par une "bonne" conscience collective de tout le corps social : problème soi disant réglé, passez bonnes gens, il n'y a plus rien à voir, plus rien à dire et parler de l'avortement serait même devenu coupable : comment osez-vous ? ! N'avez-vous pas honte de ranimer la flamme ? Ne savez-vous pas que l'humanité a franchi un cap décisif en instaurant l'IVG et qu'elle s'apprête à gravir d'autres sommets ?
Et voilà bien le drame d'une nation et de tant d'autres : penser avoir brillamment résolu un problème très ancien et ne pas s'apercevoir que la solution mise en place est en réalité devenue elle-même un problème, plus grave encore que celui qu'elle prétendait résoudre.
Une certaine médecine française a fini par se retrouver confrontée à des situations d'apparence plus simple mais extrêmement répétitives sans disposer des moyens vraiment adéquats pour faire face à une demande croissante d'exécutions contraires à l'éthique médicale la plus élémentaire : d'abord, ne pas nuire, d'un point de vue physique et psychique.
Ici, nous nous intéressons aux conséquences touchant directement les médecines françaises même s'il apparaît au fil de l'analyse qu'un drame beaucoup plus large se joue en ce moment bien au-delà du corps médical. Tous les corps intermédiaires de la nation sont aujourd'hui touchés de plein fouet par l'instauration de l'IVG. Beaucoup de nos compatriotes en France, beaucoup d'Européens sont encore dans le déni à ce sujet. Pourtant, nier plus longtemps risque de nous conduire à une faillite dont nous aurons beaucoup de mal à nous relever.
2. Esquisser ensuite un plan Marshall de restauration et de développement de nos médecines françaises
Dans cette expression grandiloquente, ne pas voir d'abord un déploiement de moyens colossaux d'ordre financier. Plutôt une opération de grande envergure en vue de réparer un désastre et de le dépasser. Une opération à mener en quatre temps bien articulés : concevoir, convaincre, conduire et contrôler.
Pour ramener les choses à une plus juste proportion, nous pourrions préciser que la restauration des médecines françaises ici envisagée est l'un des volets prioritaires d'un rétablissement et d'un développement plus général s'appuyant sur un levier financier décrit dans la tribune "Création d'une monnaie autochtone de service et d'abondance" et sur des principes exposés dans les tribunes du projet France 2022 : essentiellement, sortir d'une entropie grandissante et même affolante pour entrer dans une ère nouvelle où prédominent le vivant et donc la néguentropie (voir le point n° 7 de cette tribune).
3. Sortir d'un jeu de cache-cache
L'un des tout premiers pas à poser nous conduira vers une plus grande clarté et, pour tout dire, vers une vérité plus nette sur l'état des patients français en veillant à préserver le secret médical dans toutes les situations où le dévoilement d'une information sensible risquerait de nuire à une personne ou à un corps intermédiaire. Plus précisément : nous ne pouvons plus différer indéfiniment la constitution pour tous d'un dossier médical suffisamment étoffé et pratique pour faciliter l'une des opérations les plus délicates de toute thérapie bien menée : établir un diagnostic aussi juste que possible. Un diagnostic qui tienne compte des signes les plus immédiats et des paroles du patient comme d'un historique capable d'orienter les recherches cliniques et l'analyse médicale puis la remédiation des traitements, qu'il s'agisse de bons conseils d'hygiène ou d'interventions de très haut niveau comme les opérations chirurgicales de pointe. Faciliter également les retours d'expérience, l'échange de bonnes pratiques et l'efficacité des traitements. Accroître également la fiabilité et la pertinence des diagnostics. Améliorer enfin la formation initiale et la formation continue des praticiens de santé. Quatre domaines, au moins, mériteraient beaucoup plus d'heures de formation : la théologie, l'hygiène de vie, la nutrition et l'immunologie.
4. Sortir de la méfiance réciproque
Nos médecines souffrent en France des dires des unes sur les autres, d'incompréhensions manifestes, de suspicions maladives, de jalousies déplorables ... et, au bout du compte, ce sont les patients qui trinquent, qui se baladent d'une médecine à l'autre dans la plus grande confusion et l'absence quasi totale de visibilité. Phénomène qui entraîne gaspillages, retards, surcoûts, efficiences en berne et inefficacités notoires.
Tandis que les connaissances scientifiques se multiplient, l'art du soin demeure un exercice qui échappe en partie aux calculs, aux prévisions exactes et aux certitudes soi-disant fort bien établies. Un art qui échappe donc à la mise en boîte des cas particuliers et généraux, où chaque cas singulier et même chaque relation singulière introduit une dose d'aléas qu'il faut se garder de ranger trop vite au musée des antiquités comme si les sciences dures étaient capables de tout prévoir et de tout planifier, sinon à l'heure même, du moins dans un avenir proche.
Sortir de la méfiance en acceptant de sortir d'un scientisme à prétention universelle qui serait de surcroît infaillible. Cela vaut pour nos médecines comme pour nos agricultures, comme pour tout art en général : la pédagogie et la didactique par exemple.
Pour sortir de la méfiance, rassembler toutes nos médecines sous un vocable unique : "l'art du soin" et, moins anecdotique, dans une même banque de données ou, plus exactement, dans un système unique intégrant les savoirs, les pratiques et tous les éléments d'ordre économique, un système intégré qui favorisera une prise en charge beaucoup plus équilibrée et beaucoup plus précise qu'elle ne l'est à l'heure actuelle.
Au passage, nous glisserons de la mal nommée "Assurance maladie" à ... "Assurance santé" !
5. Vers un système intégré de santé publique
Qui dit santé "publique" dit, en l'occurrence, santé résultant à la fois des dispositifs publics et des pôles de médecine dite "libérale" car il ne s'agit pas d'opposer l'une à l'autre ou de distinguer d'une manière grossière santé personnelle et santé collective.
"Publique" donc pour souligner le rôle d'un Etat enfin redevenu stratège (expression certes à la mode ...) et, surtout pour le thème qui nous occupe, garant d'une indépendance du corps médical vis-à-vis d'industries (pharmaceutiques, agroalimentaires ...) qui tentent d'exercer des pressions sur tous les corps intermédiaires faisant obstacle à leurs velléités dominatrices. En un mot qui complétera les points n° 3 et 4 : sortir d'une logique de profits à court terme qui n'a cure des soucis de santé que pour mieux s'enrichir. Un exemple emblématique suffira pour illustrer cette volonté d'indépendance : la politique vaccinale de la France n'a pas à subir, comme cela s'est passé récemment, les distorsions nées d'intérêts spéculatifs sans rapport direct avec l'épidémiologie. Vacciner à bon escient, au bon moment et dans d'excellentes conditions et non pas pour faire tourner des industries qui seraient en manque de débouchés ou pour asseoir des pouvoirs qui rêvent d'une humanité parfaite, sans rides et sans défauts.
Nous ne pourrons d'ailleurs éclairer cette question des vaccins qu'en renforçant la qualité des informations relatives aux patients, de leur naissance jusqu'à leur décès. Sans dossier médical bien tenu, on se contente de statistiques globales qui filtrent le moucheron et laissent filer les informations les plus pertinentes.
Dans cette expression grandiloquente, ne pas voir d'abord un déploiement de moyens colossaux d'ordre financier. Plutôt une opération de grande envergure en vue de réparer un désastre et de le dépasser. Une opération à mener en quatre temps bien articulés : concevoir, convaincre, conduire et contrôler.
Pour ramener les choses à une plus juste proportion, nous pourrions préciser que la restauration des médecines françaises ici envisagée est l'un des volets prioritaires d'un rétablissement et d'un développement plus général s'appuyant sur un levier financier décrit dans la tribune "Création d'une monnaie autochtone de service et d'abondance" et sur des principes exposés dans les tribunes du projet France 2022 : essentiellement, sortir d'une entropie grandissante et même affolante pour entrer dans une ère nouvelle où prédominent le vivant et donc la néguentropie (voir le point n° 7 de cette tribune).
3. Sortir d'un jeu de cache-cache
L'un des tout premiers pas à poser nous conduira vers une plus grande clarté et, pour tout dire, vers une vérité plus nette sur l'état des patients français en veillant à préserver le secret médical dans toutes les situations où le dévoilement d'une information sensible risquerait de nuire à une personne ou à un corps intermédiaire. Plus précisément : nous ne pouvons plus différer indéfiniment la constitution pour tous d'un dossier médical suffisamment étoffé et pratique pour faciliter l'une des opérations les plus délicates de toute thérapie bien menée : établir un diagnostic aussi juste que possible. Un diagnostic qui tienne compte des signes les plus immédiats et des paroles du patient comme d'un historique capable d'orienter les recherches cliniques et l'analyse médicale puis la remédiation des traitements, qu'il s'agisse de bons conseils d'hygiène ou d'interventions de très haut niveau comme les opérations chirurgicales de pointe. Faciliter également les retours d'expérience, l'échange de bonnes pratiques et l'efficacité des traitements. Accroître également la fiabilité et la pertinence des diagnostics. Améliorer enfin la formation initiale et la formation continue des praticiens de santé. Quatre domaines, au moins, mériteraient beaucoup plus d'heures de formation : la théologie, l'hygiène de vie, la nutrition et l'immunologie.
4. Sortir de la méfiance réciproque
Nos médecines souffrent en France des dires des unes sur les autres, d'incompréhensions manifestes, de suspicions maladives, de jalousies déplorables ... et, au bout du compte, ce sont les patients qui trinquent, qui se baladent d'une médecine à l'autre dans la plus grande confusion et l'absence quasi totale de visibilité. Phénomène qui entraîne gaspillages, retards, surcoûts, efficiences en berne et inefficacités notoires.
Tandis que les connaissances scientifiques se multiplient, l'art du soin demeure un exercice qui échappe en partie aux calculs, aux prévisions exactes et aux certitudes soi-disant fort bien établies. Un art qui échappe donc à la mise en boîte des cas particuliers et généraux, où chaque cas singulier et même chaque relation singulière introduit une dose d'aléas qu'il faut se garder de ranger trop vite au musée des antiquités comme si les sciences dures étaient capables de tout prévoir et de tout planifier, sinon à l'heure même, du moins dans un avenir proche.
Sortir de la méfiance en acceptant de sortir d'un scientisme à prétention universelle qui serait de surcroît infaillible. Cela vaut pour nos médecines comme pour nos agricultures, comme pour tout art en général : la pédagogie et la didactique par exemple.
Pour sortir de la méfiance, rassembler toutes nos médecines sous un vocable unique : "l'art du soin" et, moins anecdotique, dans une même banque de données ou, plus exactement, dans un système unique intégrant les savoirs, les pratiques et tous les éléments d'ordre économique, un système intégré qui favorisera une prise en charge beaucoup plus équilibrée et beaucoup plus précise qu'elle ne l'est à l'heure actuelle.
Au passage, nous glisserons de la mal nommée "Assurance maladie" à ... "Assurance santé" !
5. Vers un système intégré de santé publique
Qui dit santé "publique" dit, en l'occurrence, santé résultant à la fois des dispositifs publics et des pôles de médecine dite "libérale" car il ne s'agit pas d'opposer l'une à l'autre ou de distinguer d'une manière grossière santé personnelle et santé collective.
"Publique" donc pour souligner le rôle d'un Etat enfin redevenu stratège (expression certes à la mode ...) et, surtout pour le thème qui nous occupe, garant d'une indépendance du corps médical vis-à-vis d'industries (pharmaceutiques, agroalimentaires ...) qui tentent d'exercer des pressions sur tous les corps intermédiaires faisant obstacle à leurs velléités dominatrices. En un mot qui complétera les points n° 3 et 4 : sortir d'une logique de profits à court terme qui n'a cure des soucis de santé que pour mieux s'enrichir. Un exemple emblématique suffira pour illustrer cette volonté d'indépendance : la politique vaccinale de la France n'a pas à subir, comme cela s'est passé récemment, les distorsions nées d'intérêts spéculatifs sans rapport direct avec l'épidémiologie. Vacciner à bon escient, au bon moment et dans d'excellentes conditions et non pas pour faire tourner des industries qui seraient en manque de débouchés ou pour asseoir des pouvoirs qui rêvent d'une humanité parfaite, sans rides et sans défauts.
Nous ne pourrons d'ailleurs éclairer cette question des vaccins qu'en renforçant la qualité des informations relatives aux patients, de leur naissance jusqu'à leur décès. Sans dossier médical bien tenu, on se contente de statistiques globales qui filtrent le moucheron et laissent filer les informations les plus pertinentes.
A propos des vaccins, il faudra enfin tenir compte des nombreuses alertes recensées ici et là : elles font état de séquelles gravissimes qu'on aurait tort de négliger, de nier et d'absoudre en laissant la bride lâche sur des industries criminelles.
A l'ère dite "numérique" ou "digitale" ou, plus justement, "informatique", un système intégré de santé publique ne saurait se passer des possibilités remarquables qu'offrent désormais les moyens modernes de saisie, de stockage, de traitement et de diffusion des informations. Nous avons là un défi important à relever pour saisir les occasions offertes par de multiples progrès techniques dont les plus craintifs redoutent les effets pervers tandis que les plus audacieux s'éloignent parfois des enjeux urgents et cruciaux pour dresser des plans sur des comètes imaginaires. Dans ces deux cas extrêmes, l'imagination n'est plus au service d'un bien personnel et collectif mais elle alimente les peurs car avant même de penser à des usages d'ingénierie médicale (déjà en marche), il convient pour ce système intégré de santé publique de mettre simplement en oeuvre des possibilités nouvelles de gestion et de transmission. Si elles sont d'apparence moins exaltante que celles de l'imagerie ou de l'intelligence artificielle (par exemple), les négliger reviendrait à perdre une grande partie des bénéfices récents mais spectaculaires de ces branches techniques qui révolutionnent les pratiques de tant d'autres domaines. Nos médecines ne peuvent se payer le luxe de rester à la traîne.
Intégrer nos médecines, ce n'est pas céder à quelque volonté totalitaire, furieusement englobante ou à quelques pressions en faveur d'une médecine plus holistique. Il s'agit d'abord de rassembler ce qui est épars, ceux qui se disputent à perte de vue, ceux qui s'affrontent de manière stérile et, ce faisant, d'offrir à toute personne un corps unifié de médecines capables de coopérer intelligemment comme Jean-Paul Moureau en a fait la démonstration dans son livre : "Soigner autrement". A cette évocation, certains se réjouiront comme des gazelles épargnées par des prédateurs tandis que d'autres bondiront comme des cabris en poussant des cris d'horreur. Que s'égaillent tous les partis !
Qui d'entre nous n'a pas vécu cette situation ubuesque dans laquelle des médecines censées s'épauler les unes les autres s'ignorent royalement, se dénigrent bêtement ou se combattent à mort ? Cela ne date pas d'hier et n'est sans doute pas près de s'éteindre. Encore faut-il tenter d'atténuer les rivalités qui desservent à la fois les patients et les personnels de santé à une époque sans égale puisque nous sommes capables aujourd'hui de démêler des fils que les inconnues et les ignorances du passé n'étaient pas en mesure de dénouer.
Ne nous contentons pas de nous libérer de superstitions sur le plan intellectuel et mettons en pratique les bienfaits d'une telle libération sans quoi les pseudos sciences proliféreront dans les interstices laissés vacants par des médecines officielles incapables de s'entendre pour offrir aux patients et aux personnels de santé un horizon clair, apaisé et rassurant.
6. D'un système intégré de santé publique à la médecine intégrative
Collecter des données, les agréger, les traiter, les transmettre ... reste vide de sens si tout ce travail n'est pas au service d'une médecine pluridisciplinaire dans laquelle les trésors d'une branche sont reliés aux atouts d'une autre approche et dans laquelle un va et vient permanent donne à chacun d'y voir de plus en plus clair, de faire preuve d'un discernement de plus en plus sûr.
Au sein de ce dispositif réellement holistique, le médecin traitant n'est plus un simple rouage d'une machine qui s'emballe. Il devient la pièce maîtresse d'un édifice parfaitement charpenté, la pierre angulaire qui assure la solidité et la cohérence d'un ensemble de plus en plus complexe. Au lieu de découper le patient en tranches et de le diriger vers des spécialistes d'une infime partie du corps humain, le médecin traitant prend le temps de relier les phénomènes observés en croisant des approches complémentaires chaque fois qu'une urgence ne commande pas d'agir très rapidement.
Nous verrons alors des entorses enfin soignées correctement. Non plus par une immobilisation immédiate qui ralentit le processus de guérison et laisse subsister un déplacement qu'un praticien de médecine manuelle est capable de réduire sur le champ, avant même de mettre l'articulation blessée au repos.
Cela suppose évidemment de revoir en profondeur la formation des futurs médecins et de rémunérer dignement une profession soumise à de telles pressions de rentabilité qu'il n'est pas rare de voir expédier un examen médical à si vive allure que le patient n'a même pas le temps de s'exprimer !
Il nous faut impérativement sortir d'un abattage commandé par une philosophie du travail qui ne sait plus distinguer la chose et le patient, l'objet et la personne. Une médecine digne de ce nom doit pouvoir s'exercer dans le calme, la sérénité et l'écoute.
Cela suppose donc encore de libérer du temps des médecins pour une formation continue de qualité et pour un enregistrement performant des données d'un patient lui-même contributeur d'informations, en amont et en aval d'une visite, sur une plate-forme de saisie partagée avec tout professionnel de santé. Entre chaque rendez-vous, le médecin qui reçoit un patient a besoin d'un temps bien rémunéré (*) lui permettant de prendre connaissance des soucis exprimés avant de le rencontrer et de saisir ses propres observations, recommandations et prescriptions.
(*) soit un levier d'incitation et d'encouragement à mettre en place via le remboursement des soins pour favoriser l'alimentation de banques de données territoriales (municipalités et provinces au sens du projet France 2022) et d'une banque nationale fédérant et agrégeant les données recueillies sur chaque territoire.
Cela suppose enfin de former beaucoup plus de praticiens de santé en évitant, notamment, de barrer l'accès aux études de médecine et paramédicales par des critères de sélection qui accordent une place excessive à des sciences qui réduisent le corps humain à l'état de machine ; ravalent l'individu au rang d'unité statistique et ne voient en chaque patient qu'un tas de cellules traversé par des réactions biochimiques dont il suffirait de mesurer l'activité ou les résultantes pour déterminer la voie thérapeutique la plus efficace.
7. De l'entropie à la néguentropie
Entropie : le corps humain vu comme une machine ; techniques (non médicales) mal maîtrisées qui engendrent de nouveaux problèmes de santé ; dispersion et désunion de nos médecines françaises ; charlatanisme ; traitements lourds qui affaiblissent les patients et aggravent leur état de santé ; interventions chirurgicales inopportunes ; contraception chimique ; accroissement du nombre des fausses couches ; aliments, air, sols, environnements contaminés et pollués (jusqu'à provoquer des malformations en série à la naissance) ; écosystèmes ravagés ou détruits ; conseils nutritionnels absurdes et finalement délétères ; déserts médicaux ; fermetures de maternité (deux tiers des maternités fermées en France depuis quarante ans) ; recours massif à l'avortement ; péridurales à gogo et sans nécessité médicale ; défauts d'allaitement ; stress au travail ; vaccinations inutiles voire stérilisantes ou gravement handicapantes ; hôpitaux publics au bord de l'implosion ...
Néguentropie : le corps humain envisagé dans ses caractéristiques exceptionnelles : adaptable, pourvu d'intelligence, capable d'auto-réparation et de régénération, ... ; tarir les causes politiques, géopolitiques, juridiques, économiques, philosophiques, morales, environnementales ... de l'avortement ; dépolluer et décontaminer ; favoriser la natalité en la plaçant résolument sous le signe de l'intelligence, de la responsabilité et d'un accueil sans réserves ; ouvrir des droits nouveaux pour les femmes enceintes et allaitantes ; favoriser l'accouchement à domicile pour les femmes qui le souhaitent ; réouvrir des centres de soin incluant un pôle maternité, notamment en province ; améliorer l'examen clinique par une meilleure intégration des médecines françaises ; réorganiser le remboursement des soins en accordant une place beaucoup plus grande aux médecines alternatives ; sortir nos agricultures d'une dépendance excessive aux poisons de l'agrochimie ; sortir des obligations vaccinales ubuesques ; réorganiser nos hôpitaux publics en les sortant d'un paradigme inadapté, celui de l'entreprise profitable ...
Cerise sur le gâteau : passer de la notion d'espérance de vie à la naissance à celle d'espérance de vie à la conception. Tout un programme !
A l'ère dite "numérique" ou "digitale" ou, plus justement, "informatique", un système intégré de santé publique ne saurait se passer des possibilités remarquables qu'offrent désormais les moyens modernes de saisie, de stockage, de traitement et de diffusion des informations. Nous avons là un défi important à relever pour saisir les occasions offertes par de multiples progrès techniques dont les plus craintifs redoutent les effets pervers tandis que les plus audacieux s'éloignent parfois des enjeux urgents et cruciaux pour dresser des plans sur des comètes imaginaires. Dans ces deux cas extrêmes, l'imagination n'est plus au service d'un bien personnel et collectif mais elle alimente les peurs car avant même de penser à des usages d'ingénierie médicale (déjà en marche), il convient pour ce système intégré de santé publique de mettre simplement en oeuvre des possibilités nouvelles de gestion et de transmission. Si elles sont d'apparence moins exaltante que celles de l'imagerie ou de l'intelligence artificielle (par exemple), les négliger reviendrait à perdre une grande partie des bénéfices récents mais spectaculaires de ces branches techniques qui révolutionnent les pratiques de tant d'autres domaines. Nos médecines ne peuvent se payer le luxe de rester à la traîne.
Intégrer nos médecines, ce n'est pas céder à quelque volonté totalitaire, furieusement englobante ou à quelques pressions en faveur d'une médecine plus holistique. Il s'agit d'abord de rassembler ce qui est épars, ceux qui se disputent à perte de vue, ceux qui s'affrontent de manière stérile et, ce faisant, d'offrir à toute personne un corps unifié de médecines capables de coopérer intelligemment comme Jean-Paul Moureau en a fait la démonstration dans son livre : "Soigner autrement". A cette évocation, certains se réjouiront comme des gazelles épargnées par des prédateurs tandis que d'autres bondiront comme des cabris en poussant des cris d'horreur. Que s'égaillent tous les partis !
Qui d'entre nous n'a pas vécu cette situation ubuesque dans laquelle des médecines censées s'épauler les unes les autres s'ignorent royalement, se dénigrent bêtement ou se combattent à mort ? Cela ne date pas d'hier et n'est sans doute pas près de s'éteindre. Encore faut-il tenter d'atténuer les rivalités qui desservent à la fois les patients et les personnels de santé à une époque sans égale puisque nous sommes capables aujourd'hui de démêler des fils que les inconnues et les ignorances du passé n'étaient pas en mesure de dénouer.
Ne nous contentons pas de nous libérer de superstitions sur le plan intellectuel et mettons en pratique les bienfaits d'une telle libération sans quoi les pseudos sciences proliféreront dans les interstices laissés vacants par des médecines officielles incapables de s'entendre pour offrir aux patients et aux personnels de santé un horizon clair, apaisé et rassurant.
6. D'un système intégré de santé publique à la médecine intégrative
Collecter des données, les agréger, les traiter, les transmettre ... reste vide de sens si tout ce travail n'est pas au service d'une médecine pluridisciplinaire dans laquelle les trésors d'une branche sont reliés aux atouts d'une autre approche et dans laquelle un va et vient permanent donne à chacun d'y voir de plus en plus clair, de faire preuve d'un discernement de plus en plus sûr.
Au sein de ce dispositif réellement holistique, le médecin traitant n'est plus un simple rouage d'une machine qui s'emballe. Il devient la pièce maîtresse d'un édifice parfaitement charpenté, la pierre angulaire qui assure la solidité et la cohérence d'un ensemble de plus en plus complexe. Au lieu de découper le patient en tranches et de le diriger vers des spécialistes d'une infime partie du corps humain, le médecin traitant prend le temps de relier les phénomènes observés en croisant des approches complémentaires chaque fois qu'une urgence ne commande pas d'agir très rapidement.
Nous verrons alors des entorses enfin soignées correctement. Non plus par une immobilisation immédiate qui ralentit le processus de guérison et laisse subsister un déplacement qu'un praticien de médecine manuelle est capable de réduire sur le champ, avant même de mettre l'articulation blessée au repos.
Cela suppose évidemment de revoir en profondeur la formation des futurs médecins et de rémunérer dignement une profession soumise à de telles pressions de rentabilité qu'il n'est pas rare de voir expédier un examen médical à si vive allure que le patient n'a même pas le temps de s'exprimer !
Il nous faut impérativement sortir d'un abattage commandé par une philosophie du travail qui ne sait plus distinguer la chose et le patient, l'objet et la personne. Une médecine digne de ce nom doit pouvoir s'exercer dans le calme, la sérénité et l'écoute.
Cela suppose donc encore de libérer du temps des médecins pour une formation continue de qualité et pour un enregistrement performant des données d'un patient lui-même contributeur d'informations, en amont et en aval d'une visite, sur une plate-forme de saisie partagée avec tout professionnel de santé. Entre chaque rendez-vous, le médecin qui reçoit un patient a besoin d'un temps bien rémunéré (*) lui permettant de prendre connaissance des soucis exprimés avant de le rencontrer et de saisir ses propres observations, recommandations et prescriptions.
(*) soit un levier d'incitation et d'encouragement à mettre en place via le remboursement des soins pour favoriser l'alimentation de banques de données territoriales (municipalités et provinces au sens du projet France 2022) et d'une banque nationale fédérant et agrégeant les données recueillies sur chaque territoire.
Cela suppose enfin de former beaucoup plus de praticiens de santé en évitant, notamment, de barrer l'accès aux études de médecine et paramédicales par des critères de sélection qui accordent une place excessive à des sciences qui réduisent le corps humain à l'état de machine ; ravalent l'individu au rang d'unité statistique et ne voient en chaque patient qu'un tas de cellules traversé par des réactions biochimiques dont il suffirait de mesurer l'activité ou les résultantes pour déterminer la voie thérapeutique la plus efficace.
7. De l'entropie à la néguentropie
Entropie : le corps humain vu comme une machine ; techniques (non médicales) mal maîtrisées qui engendrent de nouveaux problèmes de santé ; dispersion et désunion de nos médecines françaises ; charlatanisme ; traitements lourds qui affaiblissent les patients et aggravent leur état de santé ; interventions chirurgicales inopportunes ; contraception chimique ; accroissement du nombre des fausses couches ; aliments, air, sols, environnements contaminés et pollués (jusqu'à provoquer des malformations en série à la naissance) ; écosystèmes ravagés ou détruits ; conseils nutritionnels absurdes et finalement délétères ; déserts médicaux ; fermetures de maternité (deux tiers des maternités fermées en France depuis quarante ans) ; recours massif à l'avortement ; péridurales à gogo et sans nécessité médicale ; défauts d'allaitement ; stress au travail ; vaccinations inutiles voire stérilisantes ou gravement handicapantes ; hôpitaux publics au bord de l'implosion ...
Néguentropie : le corps humain envisagé dans ses caractéristiques exceptionnelles : adaptable, pourvu d'intelligence, capable d'auto-réparation et de régénération, ... ; tarir les causes politiques, géopolitiques, juridiques, économiques, philosophiques, morales, environnementales ... de l'avortement ; dépolluer et décontaminer ; favoriser la natalité en la plaçant résolument sous le signe de l'intelligence, de la responsabilité et d'un accueil sans réserves ; ouvrir des droits nouveaux pour les femmes enceintes et allaitantes ; favoriser l'accouchement à domicile pour les femmes qui le souhaitent ; réouvrir des centres de soin incluant un pôle maternité, notamment en province ; améliorer l'examen clinique par une meilleure intégration des médecines françaises ; réorganiser le remboursement des soins en accordant une place beaucoup plus grande aux médecines alternatives ; sortir nos agricultures d'une dépendance excessive aux poisons de l'agrochimie ; sortir des obligations vaccinales ubuesques ; réorganiser nos hôpitaux publics en les sortant d'un paradigme inadapté, celui de l'entreprise profitable ...
Cerise sur le gâteau : passer de la notion d'espérance de vie à la naissance à celle d'espérance de vie à la conception. Tout un programme !
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