Notre Dame de Lourdes, 11 février 2022
Suite des tribunes :
L'Europe et la France (4ème partie)
L'Europe et la France (3ème partie)
L'Europe et la France (2ème partie)
L'Europe et la France (1ère partie)
Lettre ouverte aux étudiants en sciences politiques
Les nouveaux rentiers et mercenaires de tout poil
Abolition de la peine de mort pour les tout petits en gestation
Cette nouvelle tribune de circonstance saisit l'occasion de la rencontre de deux êtres au comportements scélérats : Poutine (vrai judoka) et Macron (boxeur d'opérette) pour faire le point sur le thème : Europe - Russie - Chine - Inde - Etats-Unis (partie 1).
L'immense table qui les séparait lors de leur dernier entretien en tête à tête à Moscou ne doit pas faire illusion ou diversion : ces deux êtres, s'ils paraissent aux antipodes, nous dirigent pourtant vers le même asservissement, celui des peuples qu'ils méprisent d'autant plus qu'ils se savent, l'un et l'autre, condamnables à bien des égards. Chacune de leur apparition publique vise à redorer un blason qu'ils savent passablement terni par leurs multiples exactions souterraines voire manifestes. Ils sont prêts à tuer physiquement ou symboliquement qui s'oppose à leurs plans machiavéliques. Ils n'ont certes pas les mêmes intérêts et cela explique leurs divergences mais ils sont d'accord pour restreindre les libertés, pour aller vers des contrôles de plus en plus serrés, pour museler toute opposition, pour mener grand train personnel, pour se situer au-dessus du commun des mortels, pour briser toute résistance ... Enfin, si le premier est encore attaché à la grandeur de son pays, le second n'en a cure. Dans l'un et l'autre cas, la France n'a rien à gagner à ce jeu de dupes : son ennemi extérieur l'a veut humiliée, ridiculisée et défaite ; son ennemi intérieur fait tout ce qui est en son pouvoir pour la détruire. Les plus vulnérables, les naïfs et les insensés, comme toujours, en seront les premières victimes.
Cette tribune se prolonge avec le déclenchement de l'offensive russe en Ukraine (partie 2, commencée le mercredi 2 mars 2022).
1. Qu'est-ce qui menace le plus les pays de l'Europe de l'est ?
D'aucuns voudraient nous faire croire que la Russie représente une grave menace pour les pays de l'est européen. Ils croient eux-mêmes pouvoir fonder ce leurre sur l'une des plus sombres tragédies de l'histoire du vingtième siècle : la domination soviétique, marxisante et totalisante, athée, mensongère, tortionnaire, criminelle, ... C'est oublier que nous sommes en 2022 ! Ces idéologues agitent la peur de l'ours pour que les nations de l'est européen les plus fragiles tombent dans le giron de l'OTAN et deviennent autant de bases d'infiltration pour les idées les plus stupides et les actions les plus délétères sous la houlette d'esprits dévoyés.
En réalité, la plupart de ceux qui mettent en avant les risques hégémoniques, marxistes ou même soviétiques savent bien qu'ils ne sont plus à l'ordre du jour. Ils savent pertinemment que la Russie actuelle, de Poutine ou d'un autre, n'aura jamais plus la possibilité d'exercer l'atroce domination qui a sévi à l'est ni d'entretenir l'influence délétère qui a perduré à l'ouest pendant un demi-siècle. Méfions-nous de ceux qui agitent le sceptre d'un retour illusoire ! Ce faisant, ils camouflent le retour sinon la permanence bien réelle de la barbarie.
En un mot, la barbarie sur sol européen et partout où elle s'est transportée - aux Etats-Unis notamment - consiste toujours en l'oubli de la révolution copernicienne provoquée par l'implantation du judaïsme (persécutions et diaspora) et de sa forme la plus aboutie : le christianisme (évangélisation et missions). Là ou sévissaient des forces obscures voire démoniaques, là où présidaient l'ignorance et les superstitions, là où se propageaient les rituels barbares et stériles, là où régnaient les folies ethniques et claniques ..., l'esprit de l'Evangile a renversé la table des changeurs, chassait les marchands du temple, dérangeait les potentats, élevait les humbles ...
Autrement dit, l'oubli du Magnificat et des pages d'Evangile les plus saisissantes dans l'ordre temporel et politique mène le monde vers la guerre, vers la prééminence de la logique des flux sur la longue patience des stocks : les affairistes de tout poil qui se soucient comme de l'an quarante des personnes et des trésors utiles pour les générations à venir préfèrent dresser les peuples les uns contre les autres par des mensonges plutôt que de travailler à la concorde entre les nations et à la paix intérieure de chaque personne.
C'est ce que nous pouvons observer en ce moment : agitation incessante du hochet des périls anodins qui vise à troubler les intelligences et les coeurs ; brandissement bruyant et tapageur d'ennemis factices qui tend à bander l'animosité des uns contre celle des autres et vice versa ; qui a pour effet de semer la discorde et la division.
Au milieu de tout cela, les médias corrompus s'ingénient à mettre en vedette de faux docteurs, de faux prophètes, de faux médiateurs qui ont le culot de se présenter comme des sauveurs incontournables : qui par ses analyses d'apparence brillante mais creuses ; qui par ses annonces tonitruantes mais vaines ; qui (Macron au premier chef en ce moment) par ses multiples propos, déplacements et gesticulations sans fondement solide.
Ne soyons pas dupes de ces jeux mortifères à somme non nulle : les grands perdants de cet affairisme et de ses relais seront toujours les plus vulnérables, les sans dents - au tout début de leur conception ou broyés par l'existence -, ceux qui ne sont rien aux yeux d'un monde dévoyé, ceux qui ne comptent pas dans les calculs sordides des violents et des prédateurs.
Les pays de l'est européen sont vaccinés pour longtemps - non par de vulgaires injections frauduleuses mais par une très douloureuse expérience - des lubies marxisantes et, plus encore, des mirages proposés par les relais de propagande officielle. Ils savent qu'une Europe hyper décadente est incapable de les protéger puisqu'elle en est aujourd'hui à proposer l'inscription de l'avortement dans la charte des droits fondamentaux en Europe par la voix d'un roitelet (Macron) pitoyable et pathétique qui finira tragiquement s'il ne se repend pas dare dare de ses multiples égarements et folies.
Peut-être les pays de l'est européen ont-ils moins conscience de n'être pas davantage à l'abri d'un bouclier américain qui n'a guère fait la preuve de sa solidité dans les dernières décennies et qui prend l'eau chaque jour davantage puisque sévit outre atlantique le même genre de dérèglement qu'en Europe tandis que les Etats-Unis sont de plus en plus en situation de repli. Certes, là-bas, outre Atlantique, les démons abortifs et autres dingueries ne sont pas en position ultra dominante comme en Europe dans les sphères dirigeantes, les officines occultes, les arrières boutiques des ONG de bazar et les réseaux d'influence mais ces démons et ces dingueries ne cessent d'avancer leurs pions, sinon sur le sol des Etats-Unis du moins partout où s'effondrent les remparts évangéliques et en des lieux de prime abord insolites mais qui, à l'analyse, se révèlent propices aux expérimentations les plus scandaleuses : là, le droit est si peu développé et si peu respecté que les apprentis sorciers s'en donnent à coeur joie. Les pays de l'est européen n'ont donc pas tort de s'en remettre davantage à la puissance américaine qu'aux velléités belliqueuses d'une Europe de l'ouest complètement noyautée, jusque dans ses instances les plus stratosphériques, par le gang des affairistes et des propagandistes des plus faux progrès sociétaux - ceux des vieilles lunes - resurgissant à toutes les périodes de décadence depuis la nuit des temps et usant des dernières avancées techniques pour accroître leur potentiel destructif.
Le drame est de voir au premier rang des soi-disant protecteurs des pays de l'est européen ceux qui, précisément, souhaitent établir en leur sein les faux progrès sociétaux que des intelligences perverties ont imaginés en recyclant les lubies les plus anciennes à l'aune des nouvelles possibilités techniques. Contre un péril illusoire - l'envahissement par des troupes russes - ces faux protecteurs essaient d'installer un danger redoutable : l'anesthésie des consciences morales. Ils n'ont de cesse de prêcher le faux et l'à-peu-près, de tordre le réel, d'exciter les plus bas instincts ... pour vendre leurs soupes infâmes et leurs solutions inopérantes. Ils cherchent à occuper toujours davantage les positions d'influence sous couvert de charité et de "science". On les trouve, en conséquence, dans les milieux les plus divers, usant des ressources de leur environnement propre, de leur notoriété et de leur fortune pour pousser les pions les plus farfelus et les plus dangereux. Pour eux, les pays de l'est européen sont un terrain de jeu de prédilection, tout excités qu'ils sont par les perspectives de gain qu'offrent à leur appétit vorace des décennies de disette, de torture et de nihilisme. L'un des exemples les plus emblématiques est de voir comment les médias à la solde des marchands de rêve tentent depuis quelques jours de nous apitoyer sur le sort des couples qui ont eu recours à la GPA auprès de femmes ukrainiennes, en dépit des interdits et des réserves actuelles de la législation française (pour combien de semaines encore ? ) et de l'inhumanité foncière d'une telle pratique.
Ce qui menace les pays de l'est européen est beaucoup moins le risque d'une invasion hégémonique russe que le risque d'une perte du sens moral collectif le plus élémentaire menant à :
- la confusion entre le légal et le légitime ;
- la perte des sens surnaturel et spirituel de l'existence humaine ;
- l'oubli des implications de notre condition mortelle ;
- la course aux richesses illusoires ;
- la multiplication des pratiques immorales ;
- la disparition d'interdits structurants ;
- l'effondrement de l'Etat de droit ;
- la mise sous tutelle des peuples ;
- la dissolution des ancrages traditionnels les plus sûrs ;
- la mise au rebut des trésors du patrimoine religieux (*) ;
(*) qui survécut pourtant à l'est de l'Europe aux tentatives de purges et d'éradications staliniennes et à la démence de Ceausescu !
Toutes choses déjà fort avancées en la plupart des régions de Europe de l'ouest, hormis pour la mise au rebut du patrimoine religieux mais que des adversaires acharnés de l'Eglise essaient d'évacuer du champ public, de marginaliser, de discréditer ou de minimiser.
Pour qui veut comprendre les enjeux des simples rapports de force qui flottent comme l'écume au-dessus des courants de fond cités ci-avant, il ne manque pas d'analystes chevronnés des questions géopolitiques. Par exemple ici d'où il ressort que la Russie craint surtout une trop grande proximité de ses voisins immédiats avec la gangrène malthusienne et avec l'OTAN réduisant ainsi ses marges de manoeuvre dans tout ordre (communication, finance, économie, énergie, industrie, agriculture, commerce, démographie ...) nécessitant le non alignement de ses voisins sur les positions incertaines et fluctuantes des Etats-Unis. Crainte qu'une intelligence européenne, plus fine et plus courageuse, des redoutables défis auxquels doit faire face la Russie, dissiperait sans peine.
Seulement, voilà, qu'attendre d'une Europe radicalement décadente ?
Tandis que la Russie et la Chine ont commencé à comprendre le risque majeur de la dénatalité et du vieillissement de leur population, les Européens, obnubilés par des affaires secondaires, n'ont pas encore pris conscience de l'effondrement de l'Etat droit et des misères multiples que provoque la licence de l'IVG. Pendant que la Chine sort à peu de l'absurdité de la limitation des naissances et que la Russie tente vaillamment de faire reculer le nombre d'avortements sur son sol, des pays de l'Europe décadente ne songent qu'à étendre davantage l'empire désastreux de l'IVG, la France en tête de ce cortège macabre, sous la férule d'une clique corrompue jusqu'à la moelle et d'un Macron complètement azimuté !
2. Opposition apparente de deux forces démentes
Tandis que les propagandes vont bon train qui nous mènent tout droit vers une guerre totale avec d'innombrables décès et blessures comme avec destructions massives et quasi irréversibles, chacun doit prendre le recul nécessaire pour ne pas alimenter le moteur infernal de l'anéantissement voulu par satan et ses obligés.
En apparence, deux camps armés jusqu'aux dents s'opposent et des médias corrompus jusqu'à l'os cherchent à tout prix à entraîner chacun d'entre nous vers des positions de parti pris où l'adversaire de chair et de sang est réduit à l'état du mal absolu qu'il faudrait combattre par tous les moyens, y compris en bafouant les principes d'organisation les mieux établis. Comme toujours en pareille occasion, ces médias passent sous silence la parole d'airain de Saint Paul : non pas s'échiner contre un adversaire de chair et de sang mais lutter contre les démons qui dressent les hommes les uns contre les autres. Ils oublient aussi la leçon des samouraïs, ces guerriers formés à la considération prééminente des éléments spirituels de tout combat.
Les démons, à la solde de satan, n'ont qu'un seul but depuis l'origine du monde : faire échouer le plan divin. La guerre est l'un de leurs instruments favoris pour y parvenir : en dressant un peuple contre un autre, la guerre provoque une onde de choc qui peut se propager durant des siècles et susciter de nouveaux conflits, de nouvelles sources de discorde à perte de vue, des motifs absurdes de se battre.
Faire échouer le plan divin consiste essentiellement à rendre aveugle l'humanité : provoquer puis mettre en avant les pires atrocités pour occulter le bien qui progresse sans bruit et, ainsi, désespérer tous ceux qui oeuvrent à l'avènement du Royaume des cieux. En d'autres termes, faire échouer le plan divin, c'est tout essayer pour stériliser les intelligences et pétrifier les volontés.
De nos jours, comme autrefois, les démons usent des deux formes de violence en jeu dans toute querelle : l'une insidieuse et camouflée, l'autre franche et démonstrative. La première qualifiée de "yin" et la seconde de "yang" par Olivier Clerc dans son ouvrage : "Le Tigre et l'Araignée" dont la lecture est un véritable baume pour l'esprit et pour le coeur.
Prendre parti pour Poutine c'est choisir en apparence la violence "yang". Prendre parti pour l'Ukraine et ses soutiens, c'est choisir en apparence la violence "yin". Soit deux apparences qui ne donnent qu'une vision caricaturale de la situation puisque chaque camp use aussi de l'autre forme de violence mais à plus faible dose et de façon moins criante, moins évidente : chaque fois qu'un esprit curieux et courageux tente de démêler le faux du vrai, de révéler les opérations sous faux drapeau et d'éclaircir les zones d'ombre, il encourt le reproche facile de faire oeuvre de complotisme ... quand il n'est pas éliminé ...
Les médias corrompus et les plus vils émetteurs de fausses informations ont beau jeu de souligner, à l'envi, les différences des deux camps en présence et de nous rebattre les oreilles de subtilités tout à fait creuses alors qu'il conviendrait, en pareille circonstance, de montrer ce qui rapproche les deux formes de violence en conflit puisque l'une enfante l'autre et réciproquement.
Il suffit pourtant d'ouvrir les yeux et d'être honnête pour découvrir que deux formes de pouvoir indigentes se font face : d'une part de fausses démocraties et d'autre part des visées féodales d'un autre âge. Elles ont en commun de prétendre au bien souverain des peuples tout en mettant en oeuvre le contraire de ce qui peut y contribuer ! Elles ont aussi en commun de n'avoir pas compris l'incidence majeure sur l'économie de l'expansion démographique exponentielle couplée à l'usage très abondant des énergies fossiles. Elles n'ont pas encore vu notamment la nécessité de revoir de fond en comble la production de monnaies, d'une part continentales et convertibles, d'autre part autochtones et non convertibles.
La violence yin est aujourd'hui l'apanage d'un front occidental de moins en moins franc et viril, de plus en plus tordu et mensonger. Il agit de façon dissimulée, se présente comme le camp du bien et cherche à imposer ses lubies et ses "solutions" au reste du monde. La folie covidienne et ses fausses parades vaccinolâtres en sont l'une des expressions les plus caricaturales. Cette violence yin détruit les nations et les peuples à petit feu en les enserrant dans des corsets qui les réduisent à des peaux de chagrin.
La violence yang qui lui fait face ne s'embarrasse guère de politesse et s'imagine que la force brute viendra à bout des manigances des pervers. Triste et funeste illusion : l'attaque de l'Ukraine ne fait que renforcer leur propension à s'ériger en défenseurs du bien et si elle gêne pour un temps leur tendance à s'infiltrer partout, il suffira d'une déroute de l'armée russe pour leur ouvrir un boulevard. Déroute militaire probable tant est mouvante l'histoire des hommes : ce qui pouvait encore donner la victoire il y a encore quelques mois peut se révéler inopérant de nos jours comme il advint que tel système offensif ou défensif soit frappé de caducité au gré des évolutions de l'art de la guerre et de l'arsenal des combattants. Il suffit aussi de la moindre erreur de jugement pour que ce qui paraissait acquis d'avance échappe aux plus savants calculs et aux manoeuvres les plus habiles. En l'occurrence, il semble que Poutine n'ait pas bien mesuré les conséquences de l'invasion de l'Ukraine, l'esprit sans doute obscurci par son mépris, censément de mauvais aloi, pour l'occident : ne voir que les faiblesses de l'adversaire conduit à l'impréparation même chez les plus fins stratèges.
S'il advenait qu'une victoire militaire russe fasse taire les sceptiques, ce serait sans doute au prix de très graves dommages et les prédictions reçues actuellement par des voyants dans l'ordre surnaturel ne sont guère optimistes qui annoncent des événements très douloureux. Tous ceux qui ont tôt fait de jeter de l'huile sur le feu du conflit en cours et qui continuent d'attiser les braises seraient bien inspirés de s'en instruire afin de se convertir et de rechercher, au contraire, comment apaiser la situation et comment refroidir les ardeurs belliqueuses des uns et des autres.
Quant à ceux qui refusent de voir la menace réelle qui pesait sur la Russie, il ferait bien d'ouvrir les yeux : les implantations de l'OTAN ne sont encore que l'écume des courants en jeu. Penser ou justifier l'invasion de l'Ukraine sous le seul prétexte que de telles implantations mettent en danger la Russie ne résiste pas à l'analyse : des enjeux beaucoup plus graves expliquent l'assaut.
Premier enjeu : l'accès aux ressources de matières premières de plus en plus rares à l'échelle de la planète, en valeur absolue et, plus encore, per capita, sachant que l'Ukraine recèle des ressources exceptionnelles.
Deuxième enjeu : les terres agricoles et les hauts rendements des cultures ukrainiennes.
Troisième enjeu : la sécurité des civils russophiles du Donbass et de la Crimée.
Quatrième enjeu : les menaces de guerre bactériologique. N'importe quel journaliste d'investigation soucieux de prendre du recul par rapport au narratif des corrompus est en mesure de montrer que l'invasion de l'Ukraine vise principalement les laboratoires de la clique des corrompus et des givrés, prêts à tout pour s'emparer des ressources minières, pour influer sur leurs cours et pour réduire drastiquement la population mondiale.
Cinquième enjeu : mettre un frein à la propagande occidentale des dévoyés qui, sous couvert de droits et de libertés, veulent instaurer le règne de l'arbitraire et démolir toute assise morale. Cette propagande fait feu de tout bois : elle agit sur de nombreux plans et elle use de tous les moyens pour se répandre. Elle vise une corruption massive des moeurs, le délitement de tout repère, l'asservissement et l'abrutissement du plus grand nombre, la mise sous tutelle de toute position d'influence, qu'il s'agisse des relais médiatiques ou des centres de pouvoir.
A suivre ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire