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mercredi 13 avril 2022

Faute historique de la gauche française ?

 

1. Des consignes de vote calamiteuses et précipitées

En appelant, dès le 10 avril au soir, à faire barrage au RN, au profit de Macronescu, plusieurs partis de gauche ont révélé leurs vrais visages : non pas défenseurs des plus vulnérables mais marchands de soupe et vils servants d'une pitoyable tyrannie ! Après le travail admirable de certains députés de la France insoumise, il y a là de quoi tomber de haut et se défier de ces faux leaders, faux prophètes qui égarent le peuple.

Certains ne s'en relèveront pas. En trahissant les plus humbles, les plus précaires et les plus vulnérables, ils ont dévoilé qui ils étaient vraiment : les laquais du nouvel ordre mondial ; les membres d'une opposition contrôlée qui gueule pour faire diversion mais qui n'a rien à proposer de valable ; les carpettes de Macronescu.

Jean Lassalle, beaucoup plus fin politiquement, tout à fait cohérent et nettement plus courageux que la plupart des candidats en lice, aura eu la sagesse de ne pas donner de consignes de vote alors même qu'il se trouvait sur une ligne d'opposition parfois en harmonie avec certains à gauche, dont plusieurs membres de la France insoumise.


2. Des combattants en ordre dispersé et un polichinelle ...

Comme l'a fait justement remarquer Ségolène Royal, il s'en est fallu de peu que JLM accède au second tour : si la querelle des egos avait été mise en sourdine à temps, JLM se serait enfin trouvé face à Macronescu.

Nous savons maintenant que la divine Providence en a voulu autrement et c'est tant mieux : que celui qui voulait poursuivre jusque chez eux les rebelles à l'injection d'une soupe vaccinale dangereuse ne parvienne pas au second tour est une vraie bénédiction et une très juste sanction !

L'homme à l'intelligence brillante mais dévoyée finit toujours par buter sur une pierre qui renverse sa superbe et le renvoie à sa juste place. L'homme qui, par une remarque habile mais au fond misérable, est prompt à faire valoir ses connaissances comptables lorsqu'il s'agit de minimiser le poids de la dette dans le bilan des finances publiques ne sortira pas indemne de l'une des pires trahisons de la cinquième république, qui plus est en invoquant le fallacieux argument du "front républicain", hochet lamentable et par trop convenu des faux démocrates : toujours diligents pour accueillir le monde entier, y compris des voyous et des ennemis déclarés de la France, mais sectaires et féroces envers leurs compatriotes, quand ceux-ci osent les contredire !

Non, Jean-Luc, un pays ne sort pas de la misère sociale et de tant d'années de plomb en multipliant les dépenses publiques dans une monnaie taillée pour les beaux yeux de l'industrie allemande et la prospérité d'un voisin très égoïste mais :

- en rétablissant les piliers de sa souveraineté, notamment le pilier monétaire ;

- en abolissant la peine de mort pour les êtres en gestation, sinon en droit, du moins et plus sûrement dans les faits, c'est-à-dire, au premier chef dans toutes les décisions, toutes les paroles et toutes les actions gouvernementales. 


3. Quelques raisons

L'ordre dispersé des combattants de gauche ne résulte pas seulement de querelles de clochers ou d'egos comme le croit et l'affirme Ségolène Royal. Le mal est beaucoup plus profond. Les différents acteurs en vue de la gauche française sont divisés parce qu'ils ont été incapables de dresser un bilan correct de la situation française. En conséquence de quoi, les solutions qu'ils proposent sont indigestes, indigentes et incompatibles d'autant qu'elles sont aussi mâtinées d'idéologies ineptes et ringardes pour ne pas dire mortifères.

Lorsqu'en 2007, Ségolène Royal échoue à devenir présidente de la république française, ce n'est pas seulement en raison de tensions conjugales : le PS de l'époque était déjà largement infiltré par les sous marins du nouvel ordre mondial et par d'innombrables relais maçonniques. Beaucoup d'acteurs, grenouillant dans l'ombre ou connus sur la scène publique, ne voulaient pas d'une femme réputée incontrôlable et trop indépendante d'esprit, façonnée par des années de rigueur catholique, certes rejetées en apparence mais fortement ancrées dans l'ADN d'une personnalité hors normes qui pouvait, à tout moment, se rebeller contre la mise en oeuvre de politiques scélérates et des mesures d'une criante injustice.

Nous eûmes donc Sarko et sa bande peu recommandable, encore plus inféodés aux idées les plus stupides et dangereuses, prêts à tout pour dépecer la France et la soumettre aux diktats des gangsters du nouvel ordre mondial. L'épisode grotesque de la grippe H1N1, préfiguration de la covid-comédie, en reste l'un des signes les plus tangibles : un virus lancé par des apprentis sorciers encore peu aguerris fit pschitt ... Manquait alors l'ingénierie sociale nécessaire à provoquer la terreur et la soumission (confinement, masques, décrets incohérents, discours menaçants et culpabilisants, relais corrompus, fausses informations, données alarmantes, ... ) tandis que les gangsters du cartel des drogues médica-menteuses étaient déjà prêts pour inonder le marché mondial de leurs saloperies grâce au concours de démons bien placés dont un spécimen encore en poste ministériel à ce jour (avril 2022) ... C'est dire si la pieuvre est bien installée ...

Cet acte manqué, en 2009, devait hélas servir de leçon à tous ceux qui veulent détruire les nations, éliminer le plus de personnes possibles et terroriser le petit reste des survivants. Ils révisèrent leurs plans et leurs méthodes sans toutefois bouger d'un iota leur angle d'attaque : d'abord s'en prendre à la Chine avec une souche virale particulièrement dangereuse sachant que, sous la dictature du parti, on ne rigole pas. Si tu n'obéis pas aux consignes, tu deviens un paria. Fourmi tu es et tu dois rester. Ensuite, semer la terreur en maints endroits du globe grâce aux jeux militaires à deux pas de Wuhan et par l'entremise de dizaines de laboratoires travaillant à l'émergence comme à la dissémination d'armes bio-terroristes tout en se livrant à une guerre de l'information faisant feu de tout bois.

La gauche française, de plus en plus infiltrée par les relais de la pieuvre, a fait piètre figure tout au long de la mascarade covidienne : au lieu d'écouter et d'entendre les personnes honnêtes et compétentes qui n'ont cessé de dénoncer les mensonges des gouvernements et de tous les acteurs au service de la pieuvre, cette gauche lamentable a cru bon de jouer de son violon désaccordé depuis belle lurette, chantant le refrain idiot des vieilles lunes de la lutte des classes. Aux riches les "vaccins", aux pauvres queue dalle. Bande d'abrutis ! Il eut suffi que les soi-disant défenseurs du peuple et des pauvres se renseignassent pour découvrir que non seulement les injections expérimentales étaient inutiles mais, de surcroît, fort nocives ! Il eut suffi qu'ils consentent à laisser tomber leurs oeillères pour y voir plus clair.

Certes, ces branquignoles n'ont pas manqué de crier au déni de démocratie en pleine assemblée mais sans jamais appuyer où cela fait mal, sans jamais s'insurger contre une politique de torture et d'effondrement alors que plusieurs parlementaires du RN, en France et en Europe, ont eu le courage de se lever pour affronter les persécuteurs des corps intermédiaires de la nation, des soignants et des malades, des travailleurs, des personnes âgées, des femmes en âge de procréer, des femmes enceintes, des jeunes et des enfants.

Durant les deux années tragiques qui viennent de s'écouler, la gauche française n'aura pas su contrer le pouvoir dément de Macronescu et de sa clique, vendus à des intérêts très privés et aux ordres de la pieuvre du nouvel ordre mondial. Pire : après avoir dénoncé, à juste titre, leurs dérives les plus voyantes et leur incurie permanente en tous les domaines régaliens, ils appellent maintenant à voter pour leur tête de proue !

Quelle bassesse ! Quelle dégringolade !

Lien pour les dépasser.

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